Voici les réponses aux questions souvent posées sur le Parc national de l’Eifel
Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à contacter l’administration du Parc national de l’Eifel. De cette manière, vous contribuerez à compléter cette liste.
Vous pouvez, d’une part, acheter la carte de randonnée éditée par l’association « Eifelverein ». D’autre part, tous les sentiers autorisés sont balisés et, en plus, des panneaux placés à l’entrée des sentiers vous donnent des informations. Vous y trouverez la règlementation et les interdictions en vigueur que nous vous prions de respecter.
Le chevreuil, le cerf élaphe, le sanglier et le mouflon.
Les conditions de vie dans l’habitat et tout particulièrement l’offre en nourriture influencent directement la régulation naturelle des herbivores. Le nombre d’animaux vivant dans un secteur résulte aussi d’autres facteurs tels que le temps, les parasites et les maladies. En comparaison, la présence de carnassiers comme l’ours, le lynx ou le loup a moins d’impact sur le taux de mortalité des animaux.
Surtout en hiver, quand il y a peu de nourriture, le chevreuil, le cerf élaphe et le mouflon mangent les bourgeons des jeunes arbres. Cela a une influence négative sur le semis naturel et le développement des feuillus si leur nombre est trop élevé. De plus, ces espèces préfèrent nettement le hêtre et autres essences feuillues aux essences résineuses ; c’est pourquoi le passage des forêts de résineux non indigènes en forêts naturelles de feuillus dans le Parc national, favorisé par la plantation de jeunes hêtres, n’est actuellement possible qu’avec des mesures de régulation du gibier. A présent, la quantité de grand gibier est encore tellement importante que des essences telles que le hêtre, l’érable, le cerisier, le frêne, le sorbier, le tremble et le saule peuvent à peine exister sans la protection d’une clôture.
Dans le Parc national, la nature doit être influencée le moins possible par l’action humaine. C’est pourquoi les animaux cherchent et choisissent eux-mêmes leur nourriture.
Dans le Parc national de l’Eifel vivent de nombreux chevreuils et cerfs. Ces espèces influencent l’évolution de la forêt par leur mode de nutrition qui retarde, voire même mettent en danger, le but de la protection du Parc national, c’est à dire le développement de forêts naturelles. Les sangliers causent éventuellement des dégâts à conséquences économiques en allant chercher de la nourriture sur les surfaces agricoles voisines et en s’y roulant dans la boue. C’est pourquoi, le Parc national de l’Eifel ne peut abriter un trop grand nombre de grands animaux herbivores au risque de compromettre le développement de la forêt et de causer des dégâts économiques. L’administration du Parc national analyse régulièrement l’influence du gibier sur l’évolution de la forêt. Le résultat permet de conclure si la régulation est nécessaire ainsi que l’endroit et le mode.
Renoncer totalement à des mesures de régulation du gibier correspondrait le mieux à la philosophie du Parc national « laisser faire la nature ». L’interdiction de la chasse dans le Parc national est fixée juridiquement par un arrêté, qui stipule que la régulation des animaux sauvages est autorisée si la conservation et le développement des associations forestières naturelles sont mis en danger. Ceci s’applique aussi aux autres parcs nationaux allemands où cerfs élaphes et autres espèces d’ongulées font également l’objet de régulation (informations de EUROPARC concernant la chasse). En revanche, un arrêté définit quand et comment la régulation doit être pratiquée dans le Parc national de l’Eifel. Il prévoit des zones de repos, par exemple près de 1.000 hectares sur le plateau de Dreiborn. Sur les autres surfaces du Parc national, la régulation du gibier n’est nécessaire que dans les cas suivants :
- épidémies chez le gibier,
- dégâts causés par le gibier en dehors du Parc national ou
- mise en danger des buts de protection du Parc national (tels que le développement d’associations végétales) causée par la présence du gibier.
La régulation ne concerne que les cerfs, les chevreuils, les sangliers et les mouflons. Aucun autre animal, que ce soit le renard, la fouine, le lièvre, le corbeau ou la sauvagine, n’est abattu.
Différentes recherches sont effectuées régulièrement pour évaluer le nombre de grands animaux sauvages dans le Parc national. Par exemple, l’influence des animaux sur le développement de la forêt est analysée. Pour cela, certaines surfaces auxquelles les chevreuils et les sangliers n’ont pas accès, sont comparées à d’autres surfaces sur lesquelles ils vont chercher leur nourriture. Les différents stades de développement des végétaux donnent des indications sur l’importance de l’influence exercée par le gibier. En outre, les cerfs sont comptés chaque année au printemps aux mêmes endroits.
Actuellement la régulation du gibier n’a lieu que sur arrêté. Les types de chasse pratiqués sont la chasse à l’affût ou en mouvement (en battue). Lors d’une chasse en mouvement, des traqueurs et des chiens qui donnent de la voix lorsqu’ils sont sur les traces du gibier, incitent les animaux à sortir de leur abri. C’est une méthode efficace pour réguler les populations de sangliers, chevreuils et cerfs sur une courte période. Dans le Parc national de l’Eifel, elle est avant tout pratiquée entre octobre et décembre. La période d’ouverture de la chasse ne durant donc que quelques semaines, les animaux peuvent vivre au calme la plus grande partie de l’année. Ainsi, ils sont mis en confiance et ne fuient pas la présence humaine, ce qui permet aux visiteurs de les observer sur place.
Le but de l’administration du Parc national est de réduire au maximum les interventions de régulation de gibier. Dans le Parc national les processus naturels doivent être influencés le moins possible, même s’il est nécessaire de diminuer les peuplements de gibier. C’est pourquoi, surtout les jeunes animaux sont abattus, leur taux de mortalité étant très élevé dans la nature. La chasse au trophée, c’est à dire la chasse dont les vieux animaux à trophée (par exemple le bois du cerf) sont victimes, n’est pas pratiquée.
L’administration du Parc national de l’Eifel coordonne la chasse dans le site naturel protégé. Elle est pratiquée par plus d’une centaine de chasseurs extérieurs au personnel du Parc national contre une indemnité annuelle. Ceux-ci doivent participer au minimum à une formation annuelle sur le Parc national. Chaque chasseur, qu’il fasse partie ou non du personnel du Parc national, doit fournir un justificatif annuel de ses capacités de tir.
Après avoir effectué des examens biologiques relatifs à l’état de santé, l’âge, la taille et au poids des animaux abattus, la viande est mise en vente dans la région.
Reh, Rothirsch, Mufflon und Wildschwein
Hier finden Sie Antworten auf Fragen mit dem Schwerpunkt Reh, Rothirsch, Mufflon und Wildschwein (Paarhufer) sowie Jagd beziehungsweise Regulierung des Wildbestands:
Reh, Rothirsch, Wildschwein und Mufflon.
Pflanzenfresser werden vor allem durch die Bedingungen ihres Lebensraumes, insbesondere das Nahrungsangebot reguliert. Aber auch Witterung, Parasiten und Krankheiten haben Auswirkungen auf die Anzahl der in einem Gebiet vorkommenden Tiere. Zahlenmäßig geringer ist im Vergleich zu diesen Faktoren der Einfluss von Raubtieren wie Bär, Luchs oder Wolf.
Besonders im Winter, wenn kaum andere Nahrung zu finden ist, fressen Reh, Rothirsch und Mufflon die Knospen junger Bäume. Sind diese Tiere zu zahlreich, kann dies die natürliche Ansamung und Entwicklung von Laubbäumen verhindern. Denn beliebt sind bei Reh, Mufflon und Rothirsch vor allem Buchen und andere Laubbäume; sie sind für das Wild weitaus attraktiver als Nadelbäume. Eine Überführung der im Nationalpark nicht heimischen Nadelwälder in naturnahe Laubwälder, etwa durch die Pflanzung junger Buchen, ist daher ohne regulierende Eingriffe in den Wildbestand derzeit nicht möglich. Zur Zeit ist die Zahl der großen Wildtiere noch so hoch, dass Baumarten wie Buche, Bergahorn, Kirsche, Esche, Eberesche, Aspe und Weide ohne einen schützenden Zaun kaum vorkommen.
Im Nationalpark soll die Natur so wenig wie möglich beeinflusst werden. Deshalb werden hier keine Tiere gefüttert.
Im Nationalpark Eifel gibt es viele Rehe und Rothirsche, die durch ihr Fressverhalten den Wald beeinflussen. Dadurch kann das Schutzziel des Nationalparks „Entwicklung naturnaher Wälder" verzögert oder sogar verhindert werden. Auf den an den Nationalpark angrenzenden landwirtschaftlich genutzten Flächen kann es vor allem durch Wildschweine zu wirtschaftlichen Schäden kommen, da sich die Tiere auf den Äckern Nahrung holen und auf Wiesen den Boden aufwühlen. So darf - um die Waldentwicklung zu fördern und wirtschaftliche Schäden abzuwenden - die Anzahl der großen Pflanzenfresser nicht zu hoch werden. Die Nationalparkverwaltung untersucht regelmäßig den Einfluss des Wildes auf die Waldentwicklung. Daraus kann sie ableiten, ob, wo und wie eine Regulierung erforderlich ist.
Ein vollständiger Verzicht auf regulierende Eingriffe käme der Nationalpark-Philosophie „Natur Natur sein lassen" am nächsten. Grundsätzlich ruht die Jagd daher im Nationalpark. Dies ist in der Verordnung über den Nationalpark Eifel rechtlich festgelegt. Allerdings steht dort auch, dass Wildtiere, wenn dies zum Erhalt oder zur Entwicklung natürlicher Waldgesellschaften notwendig ist, reguliert werden können. Dies ist nicht nur im Nationalpark Eifel so, denn in allen deutschen Nationalparken werden insbesondere Rothirsche, aber auch andere Huftiere reguliert (Ausführungen von EUROPARC zur Jagd). Wann und wie dies im Nationalpark Eifel zu geschehen hat, ist wiederum in der Jagdverordnung geregelt. So sind in ausgewählten Gebieten Ruhezonen vorgesehen, (z.B. knapp 1000 Hektar auf der Dreiborner Hochfläche). Auf den übrigen Flächen des Nationalparks findet eine Wildregulation nur dann statt, wenn es aus folgenden Gründen erforderlich ist:
- zur Bekämpfung von Wildseuchen,
- zur Vermeidung von Wildschäden außerhalb des Nationalparks oder
- wenn Schutzziele des Nationalparks wie die Entwicklung naturnaher Pflanzengesellschaften durch das Wild gefährdet sind.
Es werden ausschließlich Rothirsch, Reh, Wildschwein und Mufflon reguliert. Alle anderen Tiere - beispielsweise Fuchs, Steinmarder und Hase, aber auch Raben- und Wasservögel werden nicht gejagt.
Um zu erfahren, wie viele großen Wildtiere im Nationalpark leben, werden regelmäßig verschiedene Untersuchungen durchgeführt. Beispielsweise wird geprüft, in wie weit die Tiere die Waldentwicklung beeinflussen. Hierzu werden bestimmte Flächen ohne Zutritt für Reh und Rothirsch mit solchen verglichen, auf denen das Wild sich seine Nahrung holen kann. Dabei gibt die unterschiedliche Entwicklung der Pflanzen Auskunft darüber, wie groß der Einfluss der Tiere ist. Außerdem werden die Rothirsche jedes Jahr im Frühjahr an den selben Stellen gezählt.
Ziel der Nationalparkverwaltung ist es, die Eingriffe in die Wildpopulationen auf das notwendigste Maß zu reduzieren. Im Nationalpark sollen die natürlichen Vorgänge so wenig wie möglich beeinflusst werden - auch wenn die Wildbestände verringert werden müssen. Deshalb werden vor allem junge Tiere gejagt, denn auch in der Natur ist die Sterblichkeit von Jungtieren sehr hoch. Außerdem findet keine „Trophäen-Jagd", d.h. auf ältere Tiere mit großem Geweih, statt.
Zurzeit erfolgt die Regulierung ausschließlich durch Abschuss. Es werden Gemeinschaftsansitze und sogenannte Bewegungsjagden durchgeführt. Bei Bewegungsjagden werden die Tiere durch Treiber und spurlaute Hunde veranlasst, aus ihrer Deckung zu kommen. Dies ist eine effiziente Methode zur Regulierung von Wildschwein, Reh und Rothirsch in kurzen Zeiträumen. Sie wird im Nationalpark vor allem von Oktober bis Dezember durchgeführt. Damit wird die mögliche Jagdzeit auf wenige Wochen verkürzt und die Tiere werden den ganz überwiegenden Teil des Jahres nicht gestört. So können sie mit der Zeit vertrauter und für die Gäste des Nationalparks besser erlebbar werden.
Die Ausübung der Jagd wird durch das Nationalparkforstamt Eifel koordiniert. Mehr als 100 nicht der Verwaltung angehörende Jäger und Jägerinnen werden gegen einen jährlichen Kostenbeitrag beteiligt. Diese müssen jährlich an mindestens einer Fortbildung über den Nationalpark Eifel teilnehmen. Jeder Jäger - ob Privatjäger oder Mitarbeiter der Nationalparkverwaltung - muss jährlich einen Nachweis seiner Schießfertigkeit vorlegen.
Das Fleisch der geschossenen Tiere wird regional verkauft. Zuvor werden wildbiologische Untersuchungen zu Gesundheit, Alter, Größe und Gewicht der Tiere durchgeführt.